ENREGISTRER UNE SOCIÉTÉ AU JAPON

Préface : L'enregistrement d'une société au Japon devient un processus simplifié avec Fionza Consultants à vos côtés, ce qui vous permet de consacrer votre temps et vos ressources à des aspects plus critiques de votre activité. Notre approche efficace et notre équipe expérimentée vous garantissent une expérience de création d'entreprise sans faille au Japon, avec pour objectif ultime de vous permettre de commencer à exploiter votre société basée au Japon dans les délais impartis.

Notre offre de services complète couvre tous les aspects essentiels de l'enregistrement de votre société au Japon :

1. Enregistrement de la société auprès de l'Office japonais d'enregistrement (Houmukyoku)

2. Services locaux de secrétariat d'entreprise et de siège social au Japon

3. Facilitation de l'ouverture de comptes bancaires locaux ou internationaux pour les entreprises

4. Mise à disposition d'un administrateur désigné japonais

5. Services d'enregistrement fiscal

6. Services comptables et fiscaux annuels

Comptez sur Fionza Consultants pour simplifier le processus d'enregistrement d'une société au Japon, vous permettant ainsi d'établir votre entreprise au Japon de manière rapide et efficace.

COMBIEN DE TEMPS FAUT-IL POUR CRÉER UNE SOCIÉTÉ JAPONAISE ET OUVRIR UN COMPTE BANCAIRE JAPONAIS ?

Fionza Consultants propose un service d'enregistrement de sociétés japonaises rationalisé et efficace qui peut être entièrement réalisé en 3 semaines. Notre processus commence dès que nous recevons les documents nécessaires de la part des directeurs et des actionnaires de votre future société. Notre équipe d'experts vérifiera la disponibilité du nom de votre société et préparera avec diligence tous les documents nécessaires à son enregistrement.

Ce qui nous distingue, c'est que vous n'aurez pas besoin de vous rendre au Japon ; l'ensemble du processus d'enregistrement peut être géré à distance. Une fois que Fionza Consultants a créé avec succès votre société japonaise, vous pouvez vous attendre à recevoir les documents essentiels, y compris le certificat de formation, le mémorandum et les statuts, ainsi que le registre des directeurs et des actionnaires. Veuillez noter que ces documents seront rédigés en japonais, mais si vous le souhaitez, nous pouvons vous fournir des traductions dans la langue de votre choix.

Dans les 4 semaines suivant l'enregistrement de votre société, Fionza Consultants procédera à l'ouverture d'un compte d'entreprise auprès d'une banque locale ou internationale bien établie. Cela signifie que votre société japonaise sera pleinement opérationnelle et prête à faire des affaires dans un délai total de 7 semaines à partir du moment où vous aurez fait appel à nos services.

Pour ceux qui souhaitent obtenir des informations détaillées sur le processus d'enregistrement d'une société au Japon et sur les services complets que nous offrons, Fionza Consultants a préparé un guide complet étape par étape. Contactez-nous dès aujourd'hui pour en savoir plus et faire le premier pas vers l'établissement de votre présence au Japon.

LES ÉTRANGERS PEUVENT-ILS ENREGISTRER UNE SOCIÉTÉ AU JAPON ?

Le Japon accueille les entrepreneurs étrangers pour qu'ils créent des entreprises sur son territoire, moyennant des exigences minimales. Bien qu'il ne soit pas obligatoire que les administrateurs de la société soient des citoyens japonais, Fionza Consultants recommande de désigner un administrateur représentant local maîtrisant le japonais. Cela permet d'assurer une communication efficace avec les banques locales pour l'ouverture sans heurt de comptes bancaires pour les entreprises.

Selon les directives du bureau d'enregistrement japonais, les conditions préalables essentielles à la création d'une société anonyme japonaise sont les suivantes :

Au moins un actionnaire, quelle que soit sa nationalité.

Au moins un directeur, quelle que soit sa nationalité.

Nomination d'un secrétaire général.

Posséder une adresse de siège social au Japon.

Pas d'exigence spécifique en matière de capital minimum.

TYPES D'ENTREPRISES AU JAPON

Pour choisir la bonne structure de société au Japon, il est essentiel de prendre en compte des facteurs tels que la protection de la responsabilité personnelle, les implications fiscales, la flexibilité en matière de propriété et de gestion, ainsi que les exigences en matière de conformité. Fionza Consultants adopte une approche globale pour comprendre les besoins de votre entreprise avant de recommander le type de société le plus approprié au Japon. Parmi les facteurs pris en compte, citons la nature de vos activités commerciales, les responsabilités en matière d'impôt sur les sociétés et la nationalité des actionnaires et des directeurs. Nos consultants fournissent également des informations détaillées sur les conditions d'établissement de ces entités.

1.Japon Société anonyme (Godo Kaisha)

La société anonyme japonaise, connue sous le nom de Godo Kaisha ou société à responsabilité limitée, est idéale pour les investisseurs disposant d'un capital limité. L'enregistrement d'une Godo Kaisha vous sépare juridiquement de votre société, vous protégeant ainsi de toute responsabilité personnelle pour les dettes de la société. Les conditions requises sont un directeur et un actionnaire de toute nationalité, ainsi qu'une adresse locale. Bien que cela ne soit pas obligatoire, nous recommandons de nommer un administrateur japonais lors de l'enregistrement, notamment pour l'approbation des comptes bancaires.

2. société par actions (Kabushi Kaisha)

La Kabushi Kaisha, une société par actions, est privilégiée par les grandes entreprises car elle permet de rassembler des investissements par le biais d'options d'achat d'actions et d'obligations convertibles. La responsabilité des actionnaires est limitée à la valeur de leurs actions. La création d'une Kabushi Kaisha nécessite une adresse locale et un compte bancaire japonais pour les dépôts de capitaux. La loi ne fixe pas de capital social minimum, et la nomination d'un administrateur représentatif n'est plus nécessaire depuis les amendements de 2016.

3. société en nom collectif (Gomei Kaisha)

À l'instar d'une société en nom collectif, la Gomei Kaisha implique que les associés représentent directement l'entreprise et assument ses responsabilités. Les sociétés actionnaires ne peuvent pas créer de Gomei Kaisha. Il n'y a pas de capital minimum requis et la gestion est simplifiée en raison de l'absence de responsabilité des actionnaires.

4. Partenariat limité (Goshi Kaisha)

Une Goshi Kaisha, ou société en commandite, est semblable à une Gomei Kaisha, mais avec deux niveaux d'associés : les commandités et les commanditaires. Les commandités sont entièrement responsables, tandis que les commanditaires ne sont responsables que du capital qu'ils ont apporté et peuvent ne pas être impliqués dans la gestion pour éviter une plus grande responsabilité.

5. bureau de représentation (Chuzaiin jimusho)

Les bureaux de représentation complètent les entreprises étrangères et sont utiles pour explorer le marché japonais. Ils peuvent réaliser des études de marché et promouvoir les activités de la société mère étrangère, mais ne peuvent pas s'engager dans des ventes nationales. Tous les accords sont signés par la société mère étrangère, qui est entièrement responsable du bureau de représentation.

6. succursale (Shiten)

La création d'une succursale est le moyen le plus simple d'étendre la présence d'une entreprise étrangère au Japon. Alors que la société mère reste responsable des dettes et des obligations, la succursale japonaise peut ouvrir des comptes bancaires et louer des biens immobiliers en son nom. Il n'est plus nécessaire d'avoir un représentant local japonais.

7. entreprise individuelle (Kojin Jigyo)

L'entreprise individuelle est la structure commerciale la plus simple, car il n'y a pas de séparation juridique entre le propriétaire et l'entité. Cette simplicité peut entraîner la responsabilité personnelle du propriétaire en cas de liquidation. Les propriétaires uniques déclarent les revenus de l'entreprise dans leur déclaration d'impôt fédérale individuelle. Il convient aux petites entreprises dont le propriétaire souhaite un démarrage facile et un contrôle total.

Pour créer une entreprise individuelle, vous devez être titulaire d'un visa de travail, d'un visa de résident de longue durée, d'un visa de résident permanent ou être le conjoint d'un titulaire d'un visa de résident permanent ou d'un visa de ressortissant japonais.

COMMENT ENREGISTRER UNE SOCIÉTÉ AU JAPON ?

Étape 1 : Choisir la bonne structure d'entreprise

Avant de se lancer dans l'enregistrement d'une société au Japon, il est essentiel de sélectionner la structure commerciale la plus adaptée à vos besoins. Fionza Consultants prend le temps de bien comprendre votre modèle d'entreprise et de vous recommander la structure optimale. Bien que nous ayons discuté des différentes structures d'entreprise plus haut, nous recommandons généralement une société anonyme japonaise (Godo Kaisha, GK) ou une société par actions (Kabushi Kaisha, KK) en raison de leur équilibre entre la continuité et la protection de la responsabilité.

Étape 2 : Décider entre GK et KK

En comparaison, une GK est plus rentable et plus rapide à constituer, et offre une participation flexible aux bénéfices. Toutefois, une KK peut être plus appropriée si vous envisagez de collaborer avec des entreprises japonaises ou d'émettre des actions à l'avenir. La KK est une structure d'entreprise bien établie et crédible, tandis que la GK a été introduite en 2006. Il est important de noter que vous pouvez passer d'une structure à l'autre après l'enregistrement initial.

Étape 3 : Réservation de nom

Ensuite, vous devez décider des détails essentiels tels que les objectifs et le nom de votre entreprise. Veillez à ce que le nom choisi ne soit pas vulgaire, trompeur ou similaire à des marques ou à des noms de société existants. Fionza Consultants peut vous aider à effectuer une recherche sur le numéro d'enregistrement d'une société au Japon afin de confirmer l'unicité du nom et d'éviter les retards lors de la constitution de la société.

Étape 4 : Préparer et notariser les documents justificatifs

Préparez les documents essentiels, en commençant par les statuts de la société (la notarisation est requise pour les KK). Ce document doit décrire les principales caractéristiques de la société, notamment sa structure organisationnelle et ses règles de contrôle interne. Rassemblez également des documents tels que la preuve du dépôt de capital, la notification du sceau de la société et une lettre d'accord des directeurs (notariée pour les directeurs étrangers). Soumettez ces documents au Bureau japonais des affaires juridiques (Homukyoku).

Étape 5 : Capital libéré et compte bancaire de la société

Bien que le capital minimum libéré ne soit que de 1 yen, cela peut ne pas être pratique pour les opérations commerciales et l'ouverture d'un compte bancaire d'entreprise auprès des banques japonaises. Pour simplifier le processus, envisagez de nommer temporairement un directeur résident japonais afin de faciliter le dépôt du capital et l'ouverture d'un compte bancaire. Fionza Consultants peut vous aider à ouvrir des comptes bancaires locaux ou internationaux.

Étape 6 : Rapports financiers et assemblées des actionnaires

La procédure d'approbation dure environ trois semaines. Une fois la demande approuvée, vous recevrez le numéro d'enregistrement de votre société japonaise à 13 chiffres et le certificat d'enregistrement de la société. Procédez à l'enregistrement de la société et des sceaux des administrateurs. Nos experts vous aideront à préparer les rapports financiers annuels sur la base des normes acceptées pour les rapports annuels sur l'exercice financier, qui doivent être présentés aux assemblées des actionnaires chaque année fiscale.

Étape 7 : Enregistrement fiscal

Enregistrez votre entreprise auprès des impôts en utilisant votre numéro d'enregistrement fiscal au Japon. Informez l'Agence nationale des impôts du paiement des salaires de votre bureau et les autorités municipales de l'impôt local sur les habitants et les entreprises. Ce numéro d'identification fiscale sera le même que votre numéro d'enregistrement commercial. N'oubliez pas que le taux d'imposition effectif, compte tenu de l'impôt national sur les sociétés et de la taxe locale sur les habitants, sera d'au moins 30% pour les sociétés japonaises dont le capital social est supérieur à 100 millions JPY.

Étape 8 : Demande de visa et de licence

Si nécessaire, demandez des licences supplémentaires, comme une licence pour les crypto-monnaies. Les entreprises qui souhaitent gérer activement leurs activités au Japon peuvent demander un visa d'investisseur ou de chef d'entreprise, qui nécessite une adresse physique et un capital libéré minimum de 5 millions JPY (environ $45 000 USD). En outre, il convient d'adresser les notifications nécessaires aux organismes chargés des normes de travail, de la sécurité de l'emploi public et des pensions en ce qui concerne les règles d'emploi et les polices d'assurance.

N'hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur vos obligations comptables et fiscales au Japon.

LE JAPON EST-IL UN BON ENDROIT POUR CRÉER UNE ENTREPRISE ?

Politique

Dans l'indice de perception de la corruption 2020 de Transparency International, le Japon occupe le 19e rang sur 180 pays, ce qui indique des niveaux relativement faibles de corruption dans le secteur public.

Selon le classement mondial de la liberté de la presse 2021, le Japon est classé 67e sur 180 pays en termes de liberté de la presse.

En mai 2018, le Japon a adopté une loi nationale visant à promouvoir la représentation égale des candidats masculins et féminins lors des élections, signalant ainsi son engagement en faveur des droits des femmes.

Économique

Le Japon est la troisième économie du monde, avec un produit intérieur brut (PIB) nominal de $5,15 trillions en 2019, qui devrait atteindre $5,37 trillions d'ici 2021, selon le Fonds monétaire international.

Le yen japonais tire sa force des actifs et des devises étrangères, ce qui en fait un choix attractif pour le financement et les investissements en raison de son faible coût d'emprunt.

Le gouvernement japonais a exercé des pressions sur les employeurs pour qu'ils augmentent les salaires des travailleurs, ce qui pourrait entraîner une hausse du coût de la main-d'œuvre au Japon.

Social

Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques, le taux de chômage au Japon s'élevait à 2,9% en 2021.

Le japonais est la langue officielle du Japon, et le pays se classe 55e sur 100 pays dans l'indice de maîtrise de l'anglais de l'Education First, ce qui laisse supposer l'existence de barrières linguistiques potentielles pour la communication.

Le Japon est confronté à des défis démographiques, avec plus de 20% de sa population âgée de plus de 65 ans, ce qui pourrait avoir un impact sur l'économie du pays en raison du vieillissement de la société.

Technologique

L'initiative "Data Free Flow with Trust", lancée par l'ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe, souligne l'engagement du Japon en faveur de l'innovation.

Le Japon abrite des géants internationaux de la technologie tels que Fujifilm, Sony, Canon et Panasonic.

Le gouvernement japonais poursuit une vision de la société 5.0, visant à intégrer les innovations de la quatrième révolution industrielle dans toutes les industries et tous les aspects de la société.

La législation fiscale japonaise prévoit divers régimes d'exonération et de réduction d'impôts afin d'encourager les investissements dans le pays.

Le Japon est signataire d'importants traités relatifs à la propriété intellectuelle, notamment le Traité de coopération en matière de brevets et la Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle.

Il convient de noter que le système judiciaire japonais est largement indépendant, bien que les juges ne puissent être révoqués que par la procédure de destitution, qui implique des hommes politiques, ce qui peut susciter des inquiétudes quant à l'indépendance de la justice.

Environnement

Un rapport récent de l'Organisation de coopération et de développement économiques souligne que seuls 1% des déchets municipaux du Japon sont mis en décharge, ce qui constitue un progrès considérable par rapport aux 49% de l'Australie.

La catastrophe de Fukushima Daiichi a entraîné des problèmes environnementaux, notamment la pollution des océans.

Le Japon est très sensible à diverses catastrophes naturelles telles que les tsunamis, les inondations, les typhons, les tremblements de terre, les cyclones et les éruptions volcaniques, qui ont eu des effets néfastes sur son économie.

Japon

Enregistrement de l'entreprise
4 semaines
Ouverture d'un compte bancaire
4 semaines
Directeur local
Non
Déplacements nécessaires
Non

Vous pouvez aussi aimer

Restez informé des dernières nouvelles.

ENREGISTREMENT D'UNE SOCIÉTÉ EN IRLANDE

Préface : L'enregistrement d'une société en Irlande se fait sans problème avec l'aide de Fionza Consultants. Le taux attractif de l'impôt sur les sociétés et l'environnement favorable aux entreprises font de l'Irlande l'un des pays les plus dynamiques du monde.